En ce début d’année, beaucoup d’AESH témoignent de leurs conditions de travail très difficiles : 3, 4 enfants à accompagner dans la semaine et pas toujours sur la même école ; des changements d'affectation sans être d'abord consulté.e ; pas d'information sur les élèves à accompagner ; une formation qui ne permet pas de répondre aux besoins de certains enfants ; un salaire bien trop bas par rapport à la charge de travail ; un manque de reconnaissance et de considération ; un manque d’informations sur la nouveauté de l’accompagnement sur le temps de midi....